Treize minutes et dix-sept secondes: c’est le temps qu’il a fallu à un internaute russe pour finir le jeu Snake- ou du moins, l’une de ses innombrables versions, le cauchemar de tout détenteur de Nokia au début des années 2000.
l y a pourtant quelque chose de mystique à suivre les arabesques du «serpent», dont la trajectoire devient de plus en plus improbable à mesure qu’il grandit en dévorant les boulettes qui parsèment l’écran noir –au point de former une sorte de mosaïque gréco-romaine– avant de finir par... se mordre la queue. Car oui, le jeu Snake se termine sur le suicide du serpent. Triste.
«En voyant ça, je pensais que quelqu’un avait programmé un bot pour prédire l’endroit où apparaîtraient les boulettes», précise l’auteur, dubitatif, «mais à vitesse réelle, il apparaît que cette solution provient d’un joueur humain.» Ne reste plus qu’à se fader Space Impact, maintenant.
l y a pourtant quelque chose de mystique à suivre les arabesques du «serpent», dont la trajectoire devient de plus en plus improbable à mesure qu’il grandit en dévorant les boulettes qui parsèment l’écran noir –au point de former une sorte de mosaïque gréco-romaine– avant de finir par... se mordre la queue. Car oui, le jeu Snake se termine sur le suicide du serpent. Triste.
«En voyant ça, je pensais que quelqu’un avait programmé un bot pour prédire l’endroit où apparaîtraient les boulettes», précise l’auteur, dubitatif, «mais à vitesse réelle, il apparaît que cette solution provient d’un joueur humain.» Ne reste plus qu’à se fader Space Impact, maintenant.